Le Gouvernement Japonais part à la chasse des sites illégaux de téléchargement d'Anime
Nombre d’entre vous ont surement déjà du télécharger un anime ou un film sur l’un des nombreux sites illégaux disponibles sur Internet.
Cependant, ceux-ci vont bientôt faire face au ministère japonais de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie qui a décidé d’intensifier les mesures contre le téléchargement illégal en employant des pirates.
En effet, qui de mieux qu’une personne ayant l’habitude de télécharger des fichiers illégalement pour dénicher les sites frauduleux ?
Jusqu’à présent, le gouvernement recherchait le partage de fichier illégaux à l’aide de moyens automatisés mais ces méthodes se sont révélées inefficaces.
Avec de légères modifications apportées aux vidéos originales, les versions piratées peuvent ainsi passer à travers les filtres administrés par le ministère.
Dès la semaine prochaine, le ministère emploiera un spécialiste pour rechercher personnellement les sites de streaming et de téléchargement sans licence partout dans le monde. Celui-ci devra déterminer si oui ou non leur présence constitue un préjudice économique aux détenteurs de droits.
Dans le cas où les vidéos pirates sont jugées nuisibles, le ministère va explorer les différentes actions possibles en justice.
Alors que cette nouvelle mesure concernera aussi bien les films que les anime, à la vue de l’exposition internationale beaucoup plus importante de ces derniers, il est probable que le plus gros du travail de ce chasseur de sites illégaux sera de protéger les intérêts économiques des studios d’animation et des éditeurs.
L’Agence des Affaires Culturelles estime que ces violations ont coûté, seulement pour les sites pirates chinois, au moins 560 milliards de yens (4,09 milliards d’euros).
La loi japonaise sur la distribution non autorisée de vidéos protégées par des droits d’auteur est très stricte. Cet acte peut entraîner une peine de 10 ans de prison et une amende pouvant atteindre 10 millions de yens (84 198 €).
Sources: Nippon Connection & Rocketnews24
Cependant, ceux-ci vont bientôt faire face au ministère japonais de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie qui a décidé d’intensifier les mesures contre le téléchargement illégal en employant des pirates.
Jusqu’à présent, le gouvernement recherchait le partage de fichier illégaux à l’aide de moyens automatisés mais ces méthodes se sont révélées inefficaces.
Avec de légères modifications apportées aux vidéos originales, les versions piratées peuvent ainsi passer à travers les filtres administrés par le ministère.
Dès la semaine prochaine, le ministère emploiera un spécialiste pour rechercher personnellement les sites de streaming et de téléchargement sans licence partout dans le monde. Celui-ci devra déterminer si oui ou non leur présence constitue un préjudice économique aux détenteurs de droits.
Dans le cas où les vidéos pirates sont jugées nuisibles, le ministère va explorer les différentes actions possibles en justice.
Alors que cette nouvelle mesure concernera aussi bien les films que les anime, à la vue de l’exposition internationale beaucoup plus importante de ces derniers, il est probable que le plus gros du travail de ce chasseur de sites illégaux sera de protéger les intérêts économiques des studios d’animation et des éditeurs.
L’Agence des Affaires Culturelles estime que ces violations ont coûté, seulement pour les sites pirates chinois, au moins 560 milliards de yens (4,09 milliards d’euros).
La loi japonaise sur la distribution non autorisée de vidéos protégées par des droits d’auteur est très stricte. Cet acte peut entraîner une peine de 10 ans de prison et une amende pouvant atteindre 10 millions de yens (84 198 €).
Sources: Nippon Connection & Rocketnews24
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